Changeset 42 for trunk/workshop-foss4g/introduction.rst
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trunk/workshop-foss4g/introduction.rst
r38 r42 7 7 ============================================ 8 8 9 PostGIS est une base de données spatiale. Oracle Spatial et SQL Server 2008 sont aussi des bases de données spatiales. Mais qu'est-ce que cela signifie? Qu'est-ce qui différencie un serveur de base de données spatiales d'un non spatiale ?9 PostGIS est une base de données spatiale. Oracle Spatial et SQL Server 2008 sont aussi des bases de données spatiales. Mais qu'est-ce que cela signifie? Qu'est-ce qui différencie un serveur de base de données spatiales d'un serveur de base de données non spatiale ? 10 10 11 11 La réponse courte, est ... … … 25 25 ---------------- 26 26 27 Dans les premiÚres implémentations :term:`SIG`, toutes les données 28 spatiales étaient stockées sous la forme de fichiers plats et certaines applications 29 :term:`SIG` spécifiques étaient nécessaires les interpréter et les manipuler. 30 Ces outils de gestion de premiÚre génération avaient été conçus pour répondre aux 31 besoins des utilisateurs pour lesquels toute les données étaient localisées au sein de leur 32 agence. Ces outils propriétairse étaient des systÚmes specifiquement créés pour gérer les 33 données spatiales. 27 Dans les premiÚres implémentations :term:`SIG`, toutes les données spatiales étaient stockées sous la forme de fichiers plats et certaines applications :term:`SIG` spécifiques étaient nécessaires les interpréter et les manipuler. Ces outils de gestion de premiÚre génération avaient été conçus pour répondre aux besoins des utilisateurs pour lesquels toute les données étaient localisées au sein de leur agence. Ces outils propriétaires étaient des systÚmes specifiquement créés pour gérer les données spatiales. 34 28 35 29 La seconde génération des systÚmes de gestion de données spatiales stockaient certaines données dans une base de données relationelle (habituellement les "attributs" ou autres parties non spatiales) mais ne founissaient pas encore la fléxibilité offerte par une intégration complÚte des données spatiales. … … 67 61 :align: center 68 62 69 Les étendues sont utilisées car répondre à la question : "est-ce que A se trouve à 'intérieur de B ? " est une opération couteuse pour les polygones mais rapide dans le cas ou ce sont des rectangles. Même des polgones et des lignes complex peuvent être représentépar une simple étendue.70 71 Les index spatiaux doivent réalis é leur ordanencement rapidement afin d'être utile. Donc au lien de fournir des résultats extacts, comme le font les arbres binaires, les index spatiaux fournissent des résultats approximatifs. La question "quelles lignes sont à l'intérieur de ce polygone" sera interprétépar un index spatial comme : "quelles lignes ont une étendue qui est contenue dans l'étendue de ce polygone ?"63 Les étendues sont utilisées car répondre à la question : "est-ce que A se trouve à l'intérieur de B ? " est une opération couteuse pour les polygones mais rapide dans le cas ou ce sont des rectangles. Même des polygones et des lignes complexes peuvent être représentés par une simple étendue. 64 65 Les index spatiaux doivent réaliser leur ordanencement rapidement afin d'être utiles. Donc au lien de fournir des résultats exacts, comme le font les arbres binaires, les index spatiaux fournissent des résultats approximatifs. La question "quelles lignes sont à l'intérieur de ce polygone" sera interprétée par un index spatial comme : "quelles lignes ont une étendue qui est contenue dans l'étendue de ce polygone ?" 72 66 73 67 Les incréments spatiaux réels mis en application par diverses bases de données varient considérablement. 74 Les index spatiaux actuellement utilisés par les différents systÚmes de gestion de bases de données varient considérablement. L'implémentation la plus commune est l'`arbre R <http://en.wikipedia.org/wiki/R-tree>`_ (utilisé dans PostGIS), mais il existe aussi des implémentations de type `Quadtrees <http://en.wikipedia.org/wiki/Quadtree>`_, et des `indexes basés sur une grille <http://en.wikipedia.org/wiki/Grid_(spatial_index)>`_.68 Les index spatiaux actuellement utilisés par les différents systÚmes de gestion de bases de données varient aussi considérablement. L'implémentation la plus commune est l'`arbre R <http://en.wikipedia.org/wiki/R-tree>`_ (utilisé dans PostGIS), mais il existe aussi des implémentations de type `Quadtrees <http://en.wikipedia.org/wiki/Quadtree>`_, et des `indexes basés sur une grille <http://en.wikipedia.org/wiki/Grid_(spatial_index)>`_. 75 69 76 70 Les Fonctions spatiales … … 119 113 Tout ceci combiné, PostgreSQL permet un cheminement simple du développement nécessaire à l'ajout des types spatiaux. Dans le monde propriétaire, seul Illustra (maintenant Informix Universal Server) permet une extension aussi simple. Ceci n'est pas une coincidence, Illustra est une version propriétaire modifiée du code original de PostgreSQL publié dans les années 1980. 120 114 121 Puisque le cheminement du développement nécessaire à l'ajout de types à PostgreSQL est direct, il sembl énaturel de commencer par là . Lorsque MySQL a publié des types de données spatiales de base dans sa version 4.1, l'équipe de PostGIS a jetté un coup d'oeil dans leur code source et cela a confirmé le choix initial d'utiliser PostgreSQL. Puisque les objets géographiques de MySQL doivent être considérés comme un cas particulier de chaînes de caractÚres, le code de MySQL a été diffus dans l'intégralité du code de base. Le développement de PostGIS version 0.1 a pris un mois. Réaliser un projet "MyGIS" 0.1 aurait pris beaucoup plus de temps, c'est sans doute pourquoi il n'a jamais vu le jour.115 Puisque le cheminement du développement nécessaire à l'ajout de types à PostgreSQL est direct, il semblait naturel de commencer par là . Lorsque MySQL a publié des types de données spatiales de base dans sa version 4.1, l'équipe de PostGIS a jetté un coup d'oeil dans leur code source et cela a confirmé le choix initial d'utiliser PostgreSQL. Puisque les objets géographiques de MySQL doivent être considérés comme un cas particulier de chaînes de caractÚres, le code de MySQL a été diffus dans l'intégralité du code de base. Le développement de PostGIS version 0.1 a pris un mois. Réaliser un projet "MyGIS" 0.1 aurait pris beaucoup plus de temps, c'est sans doute pourquoi il n'a jamais vu le jour. 122 116 123 117 Pourquoi pas des fichiers Shapefile ? 124 118 ------------------------------------ 125 119 126 Les fichiers `shapefile <http://en.wikipedia.org/wiki/Shapefile>`_ (et les autres formats) ont été la maniÚre standard de stock uer et d'interragir avec les données spatiales depuis l'origine des SIG. Néanmoins, ces fichiers "plats" ont les inconvénients suivants :120 Les fichiers `shapefile <http://en.wikipedia.org/wiki/Shapefile>`_ (et les autres formats) ont été la maniÚre standard de stocker et d'interragir avec les données spatiales depuis l'origine des SIG. Néanmoins, ces fichiers "plats" ont les inconvénients suivants : 127 121 128 122 * **Les fichier au formats SIG requiÚrent un logiciel spécifique pour les lire et les écrire.** Le langage SQL est une abstraction de l'accÚs alléatoire au données et à leur analyse. Sans cette abstraction, vous devrez développer l'accÚs et l'anayse par vos propre moyens.
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