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PostGIS ajoute le support d'objets géographique à la base de données PostgreSQL. En effet, PostGIS "spatialise" le serverur PostgreSQL, ce qui permet de l'utiliser comme une base de données SIG.

Maintenu à jour, en fonction de nos disponibilités et des diverses sorties des outils que nous testons, nous vous proposons l'ensemble de nos travaux publiés en langue française.

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Timestamp:
15/03/2012 00:36:06 (13 years ago)
Author:
thomasg
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Fix typos until loading_data.rst

Location:
trunk/workshop-foss4g
Files:
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  • trunk/workshop-foss4g/creating_db.rst

    r45 r60  
    1919Pour ces travaux pratiques, nous n'utilserons que les parties de la section "PostGIS" du Dashboard. 
    2020 
    21 #. PremiÚrement, nous devons démarrer les serveur de base de données PostGIS. Cliquez sur le bouton vert **Start** en haut à droite de la fenêtre du Dashboard. 
     21#. PremiÚrement, nous devons démarrer le serveur de base de données PostGIS. Cliquez sur le bouton vert **Start** en haut à droite de la fenêtre du Dashboard. 
    2222 
    23 #. La premiÚre fois que la Suite se démarre, elle initialise un espace de données et met en place des modÚles de bases de données. Ceci peut prendre quelque minutes. Une fois la Suite lancée, vous pouvez cliquer sur l'option **Manage** dans le composant *PostGIS*  pour lancer l'outil pgAdmin. 
     23#. La premiÚre fois que la Suite se démarre, elle initialise un espace de données et met en place des modÚles de bases de données. Ceci peut prendre quelques minutes. Une fois la Suite lancée, vous pouvez cliquer sur l'option **Manage** dans le composant *PostGIS*  pour lancer l'outil pgAdmin. 
    2424 
    2525      .. image:: ./screenshots/dashboard_02.png 
    26    
    27       .. note::  
    28    
    29          PostgreSQL dispose de nombreux outils d'administration différents.  Le premier est `psql <http://www.postgresql.org/docs/8.1/static/app-psql.html>`_ un outil en ligne de commande permettant de saisir des requêtes SQL. Un autre outil d'administation populaire est l'outils graphique libre et gratuit `pgAdmin <http://www.pgadmin.org/>`_. Toutes les requêtes exécutées depuis pgAdmin peuvent aussi être utilisées depuis la ligne de commande avec psql.  
     26 
     27      .. note:: 
     28 
     29         PostgreSQL dispose de nombreux outils d'administration différents.  Le premier est `psql <http://www.postgresql.org/docs/8.1/static/app-psql.html>`_ un outil en ligne de commande permettant de saisir des requêtes SQL. Un autre outil d'administation populaire est l'outil graphique libre et gratuit `pgAdmin <http://www.pgadmin.org/>`_. Toutes les requêtes exécutées depuis pgAdmin peuvent aussi être utilisées depuis la ligne de commande avec psql. 
    3030 
    3131#. Si c'est la premiÚre fois que vous lancez pgAdmin, vous devriez avoir une entrée du type **PostGIS (localhost:54321)** déjà configurée dans pgAdmin. Double cliquez sur cet élément, et entrez le mot de passe de votre choix pour vous connecter au serveur. 
     
    4040------------------------- 
    4141 
    42 PostgreSQL fournit ce que l'on appÚle des modÚles de bases de données qui peuvent être utilisés lors de la création d'une nouvelle base. Cette nouvelle base contiendra alors une copie de tout ce qui est présent dans le modÚle. Lorsque vous installez PostGIS, une base de données appelée ``template_postgis`` a été crée. Si nous utilisons ``template_postgis`` comme modÚle lors de la création de notre nouvelle base, la nouvelle base sera une base de données spatiales. 
     42PostgreSQL fournit ce que l'on appelle des modÚles de bases de données qui peuvent être utilisés lors de la création d'une nouvelle base. Cette nouvelle base contiendra alors une copie de tout ce qui est présent dans le modÚle. Lorsque vous installez PostGIS, une base de données appelée ``template_postgis`` a été crée. Si nous utilisons ``template_postgis`` comme modÚle lors de la création de notre nouvelle base, la nouvelle base sera une base de données spatiales. 
    4343 
    44 #. Ouvrez l'arbre des bases de données et regardez quelles sont les bases de données disponibles. La base ``postgres`` est la base de l'utilisateur (par défaut l'utilisateur postgres, donc pas trÚs interressante pour nous). La base ``template_postgis`` est celle que nous utiliserons pour créer des bases de données spatiales. 
     44#. Ouvrez l'arbre des bases de données et regardez quelles sont les bases de données disponibles. La base ``postgres`` est la base de l'utilisateur (par défaut l'utilisateur postgres, donc pas trÚs intéressante pour nous). La base ``template_postgis`` est celle que nous utiliserons pour créer des bases de données spatiales. 
    4545 
    46 #. Cliquez avec le clic droit sur l'élément ``Databases`` et selectionnez ``New Database``. 
     46#. Cliquez avec le clic droit sur l'élément ``Databases`` et sélectionnez ``New Database``. 
    4747 
    4848   .. image:: ./screenshots/pgadmin_02.png 
     
    5050   .. note:: Si vous recevez un message d'erreur indiquant que la base de données (``template_postgis``) est utilisée par d'autre utilisateurs, cela signifie que vous l'avez activé par inadvertance. Utilisez alors le clic droit sur l'élément ``PostGIS (localhost:54321)`` puis sélectionnez ``Disconnect``.  Double cliquez sur le même élément pour vous reconnecter et essayez à nouveau. 
    5151 
    52 #. Remplissez le formulaire ``New Database`` puis cliquez sur **OK**.   
     52#. Remplissez le formulaire ``New Database`` puis cliquez sur **OK**. 
    5353 
    5454   .. list-table:: 
     
    6565   .. image:: ./screenshots/pgadmin_03.png 
    6666 
    67 #. Selectionnez la nouvelle base de données ``nyc`` et ouvrez là pour consulter son contenu. Vous verrez le schéma ``public``, et sous cela un ensemble de tables de métadonnées spécifiques à PostGIS -- ``geometry_columns`` et ``spatial_ref_sys``. 
     67#. Sélectionnez la nouvelle base de données ``nyc`` et ouvrez-la pour consulter son contenu. Vous verrez le schéma ``public``, et sous cela un ensemble de tables de métadonnées spécifiques à PostGIS -- ``geometry_columns`` et ``spatial_ref_sys``. 
    6868 
    6969   .. image:: ./screenshots/pgadmin_04.png 
     
    8080 
    8181   .. note:: 
    82     
    83       C'est notre premiÚre requête SQL.  ``postgis_full_version()`` est une fonction d'administration qui renvoit le numéro de version et les options de configuration utilisées lors de la compilation.  
    84        
     82      C'est notre premiÚre requête SQL.  ``postgis_full_version()`` est une fonction d'administration qui renvoie le numéro de version et les options de configuration utilisées lors de la compilation. 
     83 
    8584#. Cliquez sur le bouton **Play** dans la barre d'outils (ou utilisez la touche **F5**) pour  "exécuter la requête." La requête retournera la chaîne de caractÚres suivante, confirmant que PostGIS est correctement activé dans la base de données. 
    8685 
    8786   .. image:: ./screenshots/pgadmin_06.png 
    88     
     87 
    8988Vous venez de créer une base de données PostGIS avec succÚs ! 
    9089 
     
    9291------------------- 
    9392 
    94 `PostGIS_Full_Version <http://postgis.org/documentation/manual-svn/PostGIS_Full_Version.html>`_: Retourne les informations complÚtes relatives à la version et aux options de compilation de postgis. 
     93`PostGIS_Full_Version <http://postgis.org/documentation/manual-svn/PostGIS_Full_Version.html>`_: Retourne les informations complÚtes relatives à la version et aux options de compilation de PostGIS. 
     94 
  • trunk/workshop-foss4g/installation.rst

    r43 r60  
    44======================= 
    55 
    6 Nous utiliserons l'OpenGeo Suite comme application d'installation, car celle-ci contient PostGIS/PostgreSQL dans un seul outil d'installation pour Windows, Apple OS/X et Linux. La suite contient aussi GeoServer, OpenLayers et d'autres outils de visulations sur le web. 
     6Nous utiliserons OpenGeo Suite comme application d'installation, car celle-ci contient PostGIS/PostgreSQL dans un seul outil d'installation pour Windows, Apple OS/X et Linux. La suite contient aussi GeoServer, OpenLayers et d'autres outils de visualisations sur le web. 
    77 
    88.. note:: 
    9    
    10 Si vous souhaitez installer simplement PostgreSQL, cela peut se faire en téléchargeant directement le code source ou les binaires de PostgreSQL sur le site du projet http://postgresql.org/download/. AprÚs avoir installé PostgreSQL, utilisez l'outil "StackBuilder" pour ajouter l'extension PostGIS à votre installation. 
    119 
    12 .. note::  
     10    Si vous souhaitez installer simplement PostgreSQL, cela peut se faire en téléchargeant directement le code source ou les binaires de PostgreSQL sur le site du projet http://postgresql.org/download/. AprÚs avoir installé PostgreSQL, utilisez l'outil "StackBuilder" pour ajouter l'extension PostGIS à votre installation. 
    1311 
    14 Les indications précises de ce document sont propre à Windows, mais l'installation sous OS/X est largement similaire. Une fois la Suite installée, les instructions relatives au systÚme d'exploitation devraient être identiques. 
     12.. note:: 
    1513 
    16 #. Dans le répertoire :file:`postgisintro\\software\\` vous trouverez l'installeur de l'OpenGeo Suite nommé :  :file:`opengeosuite-2.4.3.exe` (sur OS/X, :file:`opengeosuite-2.4.3.dmg`).  Double cliquez sur cet exécutable pour le lancer. 
     14    Les indications précises de ce document sont propre à Windows, mais l'installation sous OS/X est largement similaire. Une fois la Suite installée, les instructions relatives au systÚme d'exploitation devraient être identiques. 
     15 
     16#. Dans le répertoire :file:`postgisintro\\software\\` vous trouverez l'installeur de OpenGeo Suite nommé :  :file:`opengeosuite-2.4.3.exe` (sur OS/X, :file:`opengeosuite-2.4.3.dmg`).  Double cliquez sur cet exécutable pour le lancer. 
    1717 
    1818#. Appréciez le message de courtoisie d'OpenGeo, puis cliquez sur **Next**. 
     
    2121 
    2222 
    23 #. L'OpenGeo Suite est publiée sous licence GPL, ce qui est précisé dans la fenêtre de license.  Cliquez sur **I Agree**. 
     23#. OpenGeo Suite est publiée sous licence GPL, ce qui est précisé dans la fenêtre de license.  Cliquez sur **I Agree**. 
    2424 
    2525   .. image:: ./screenshots/install_02.png 
    2626 
    2727 
    28 #. Le répertoire où l'OpenGeo Suite sera installé est généralement le répertoire ``C:\Program Files\``. Les données seront placées dans le répertoire personnel de votre utilisateur, dans le répertoire :file:`.opengeo`.  Cliquez sur **Next**. 
     28#. Le répertoire où OpenGeo Suite sera installé est généralement le répertoire ``C:\Program Files\``. Les données seront placées dans le répertoire personnel de votre utilisateur, dans le répertoire :file:`.opengeo`.  Cliquez sur **Next**. 
    2929 
    3030   .. image:: ./screenshots/install_03.png 
    3131 
    3232 
    33 #. L'installeur créera un certain nombre de raccourcis dans le répertoire OpenGeo du menu démarrer. Cliquez sur **Next**. 
     33#. L'installeur créera un certain nombre de raccourcis dans le répertoire OpenGeo du menu Démarrer. Cliquez sur **Next**. 
    3434 
    3535   .. image:: ./screenshots/install_04.png 
    3636 
    3737 
    38 #. Tout les composants de la Suite sont obligatoires à ce niveau. Cliquez sur **Next**. 
     38#. Tous les composants de la Suite sont obligatoires à ce niveau. Cliquez sur **Next**. 
    3939 
    4040   .. image:: ./screenshots/install_05.png 
     
    5555   .. image:: ./screenshots/install_08.png 
    5656 
    57  
  • trunk/workshop-foss4g/introduction.rst

    r45 r60  
    11.. _introduction: 
    22 
    3 Partie 1 : Introduction  
     3Partie 1 : Introduction 
    44************************ 
    55 
     
    1111La réponse courte, est ... 
    1212 
    13 **Les base de données spatiales permettent les stockage et la manipulation des objets spatiaux comme les autres objets de la base de données.** 
    14  
    15 Ce qui suit présente briÚvement l'évolution des base de données spatiales, puis les liens 
    16 entre les données spatiales et la base de données (types de données, indexes et fonctions). 
    17  
    18 #. **Types de données spatiales** fait référence aux géométries de type point, ligne et polygone;  
     13**Les bases de données spatiales permettent le stockage et la manipulation des objets spatiaux comme les autres objets de la base de données.** 
     14 
     15Ce qui suit présente briÚvement l'évolution des bases de données spatiales, puis les liens 
     16entre les données spatiales et la base de données (types de données, index et fonctions). 
     17 
     18#. **Types de données spatiales** fait référence aux géométries de type point, ligne et polygone; 
    1919#. L'**indexation spatiale** est utilisée pour améliorer les performances d'exécution des opérations spatiales; 
    2020#. Les **fonctions spatiales**, au sens :term:`SQL`, sont utilisées pour accéder à des propriétés ou à des relations spatiales. 
    2121 
    22 Utilisés de maniÚre combinée, les types de données spatiales, les indexes et les fonctions fournissent une structure flexible pour optimiser les performances et les analyses. 
     22Utilisés de maniÚre combinée, les types de données spatiales, les index et les fonctions fournissent une structure flexible pour optimiser les performances et les analyses. 
    2323 
    2424Au commencement 
    2525---------------- 
    2626 
    27 Dans les premiÚres implémentations :term:`SIG`, toutes les données spatiales étaient stockées sous la forme de fichiers plats et certaines applications :term:`SIG` spécifiques étaient nécessaires pour les interpréter et les manipuler. Ces outils de gestion de premiÚre génération avaient été conçus pour répondre aux besoins des utilisateurs pour lesquels toute les données étaient localisées au sein de leur agence. Ces outils propriétaires étaient des systÚmes specifiquement créés pour gérer les données spatiales. 
    28  
    29 La seconde génération des systÚmes de gestion de données spatiales stockaient certaines données dans une base de données relationelle (habituellement les "attributs" ou autres parties non spatiales) mais ne founissaient pas encore la fléxibilité offerte par une intégration complÚte des données spatiales. 
    30  
    31 **Effectivement, les bases de données spatiales sont nées lorsque les gens ont commencé à considérer les objet spatiaux comme les autres objets d'une base de données .**   
    32  
    33 Les bases de données spatiales intÚgrent les données spatiales sous formes d'objets de la base de données relationelles. Le changement opéré passe d'une vision centrée sur le SIG à une vision centrée sur les bases de données. 
     27Dans les premiÚres implémentations :term:`SIG`, toutes les données spatiales étaient stockées sous la forme de fichiers plats et certaines applications :term:`SIG` spécifiques étaient nécessaires pour les interpréter et les manipuler. Ces outils de gestion de premiÚre génération avaient été conçus pour répondre aux besoins des utilisateurs pour lesquels toutes les données étaient localisées au sein de leur agence. Ces outils propriétaires étaient des systÚmes specifiquement créés pour gérer les données spatiales. 
     28 
     29La seconde génération des systÚmes de gestion de données spatiales stockait certaines données dans une base de données relationelle (habituellement les "attributs" ou autres parties non spatiales) mais ne fournissaient pas encore la flexibilité offerte par une intégration complÚte des données spatiales. 
     30 
     31**Effectivement, les bases de données spatiales sont nées lorsque les gens ont commencé à considérer les objet spatiaux comme les autres objets d'une base de données .** 
     32 
     33Les bases de données spatiales intÚgrent les données spatiales sous forme d'objets de la base de données relationnelle. Le changement opéré passe d'une vision centrée sur le SIG à une vision centrée sur les bases de données. 
    3434 
    3535.. image:: ./introduction/beginning.png 
    3636 
    37 .. note:: Un systÚme de gestion de base de données peut être utilisé dans d'autres cadres que celui des SIG. Les bases de données spatiales sont utilisées dans divers domaines : l'anatomie humaine, les circuits intégrés de grandes envergures, les structures moléculaires, les champs electro-magnétiques et bien d'autre encore. 
     37.. note:: Un systÚme de gestion de base de données peut être utilisé dans d'autres cadres que celui des SIG. Les bases de données spatiales sont utilisées dans divers domaines : l'anatomie humaine, les circuits intégrés de grandes envergures, les structures moléculaires, les champs electro-magnétiques et bien d'autres encore. 
    3838 
    3939 
     
    4141------------------------------ 
    4242 
    43 Une base de données classique propose par exemple les types chaînes de caractÚres et date. Une base de données spatiales ajoute les types de données (spatiales) pour représenter les **entités géographiques**. Ces types de données spatiales permettre d'accéder à des propriétés de l'entité géographique comme ses contours ou sa dimension. Pour bien des aspects, les types de données spatiales peuvent être vu simplement comme des formes. 
     43Une base de données classique propose par exemple les types chaînes de caractÚres et date. Une base de données spatiales ajoute les types de données (spatiales) pour représenter les **entités géographiques**. Ces types de données spatiales permettent d'accéder à des propriétés de l'entité géographique comme ses contours ou sa dimension. Pour bien des aspects, les types de données spatiales peuvent être vus simplement comme des formes. 
    4444 
    4545.. image:: ./introduction/hierarchy.png 
    4646   :align: center 
    4747 
    48 Les types de données spatiales sont organisés par une hierarchie de type. Chaque sous-types hérite de la structure (les atrributs) et du comportement (les méthodes et fonctions) de son type supérieur dans la hierarchie. 
    49  
    50  
    51 Indexes spatiaux et étendue 
     48Les types de données spatiales sont organisés par une hiérarchie de type. Chaque sous-type hérite de la structure (les attributs) et du comportement (les méthodes et fonctions) de son type supérieur dans la hierarchie. 
     49 
     50 
     51Index spatiaux et étendue 
    5252--------------------------- 
    5353 
    54 Une base de données ordinaire fournit des "méthodes d'accÚs" -- connues sous le nom d'**index** -- pour permettre un accÚs efficace et non séquentiel à un sous ensemble de données. L'indexation des types non géographiques (nombre, chaînes de caractÚres, dates) est habituellement faite à l'aide des index de type `arbres binaires <http://en.wikipedia.org/wiki/B-tree>`__. Un arbre binaire est un partitionnement des données utilisant l'ordre naturel pour stoquer les données hierarchiequement. 
    55  
    56 L'ordre naturel des nombres, des chaînes de caractÚres et des dates est assez simple à déterminer -- chaque valeur est inférieure, plus grande ou égale à toutes les autres valeurs. Mais, étant donné que les polygones peuvent se chevaucher, peuvent être contenu dans un autre et sont représenté par un tableau en deux dimensions (ou plus), un arbre binaire ne convient pas pour indexer les valeurs. Les vraies bases de données spatiales fournissent un "index spatial" qui répond plutÃŽt à la question : "quel objet se trouve dans une étendue spécifique ?" 
     54Une base de données ordinaire fournit des "méthodes d'accÚs" -- connues sous le nom d'**index** -- pour permettre un accÚs efficace et non séquentiel à un sous ensemble de données. L'indexation des types non géographiques (nombre, chaînes de caractÚres, dates) est habituellement faite à l'aide des index de type `arbres binaires <http://en.wikipedia.org/wiki/B-tree>`__. Un arbre binaire est un partitionnement des données utilisant l'ordre naturel pour stocker les données hiérarchiquement. 
     55 
     56L'ordre naturel des nombres, des chaînes de caractÚres et des dates est assez simple à déterminer -- chaque valeur est inférieure, plus grande ou égale à toutes les autres valeurs. Mais, étant donné que les polygones peuvent se chevaucher, peuvent être contenus dans un autre et sont représentés par un tableau en deux dimensions (ou plus), un arbre binaire ne convient pas pour indexer les valeurs. Les vraies bases de données spatiales fournissent un "index spatial" qui répond plutÃŽt à la question : "quel objet se trouve dans une étendue spécifique ?" 
    5757 
    5858Une **étendue** correspond au rectangle de plus petite taille capable de contenir un objet géographique. 
     
    6161   :align: center 
    6262 
    63 Les étendues sont utilisées car répondre à la question : "est-ce que A se trouve à l'intérieur de B ? " est une opération couteuse pour les polygones mais rapide dans le cas ou ce sont des rectangles. Même des polygones et des lignes complexes peuvent être représentés par une simple étendue. 
     63Les étendues sont utilisées car répondre à la question : "est-ce que A se trouve à l'intérieur de B ? " est une opération coûteuse pour les polygones mais rapide dans le cas ou ce sont des rectangles. Même des polygones et des lignes complexes peuvent être représentés par une simple étendue. 
    6464 
    6565Les index spatiaux doivent réaliser leur ordonnancement rapidement afin d'être utiles. Donc au lieu de fournir des résultats exacts, comme le font les arbres binaires, les index spatiaux fournissent des résultats approximatifs. La question "quelles lignes sont à l'intérieur de ce polygone" sera interprétée par un index spatial comme : "quelles lignes ont une étendue qui est contenue dans l'étendue de ce polygone ?" 
    6666 
    6767Les incréments spatiaux réels mis en application par diverses bases de données varient considérablement. 
    68 Les index spatiaux actuellement utilisés par les différents systÚmes de gestion de bases de données varient aussi considérablement. L'implémentation la plus commune est l'`arbre R <http://en.wikipedia.org/wiki/R-tree>`_ (utilisé dans PostGIS), mais il existe aussi des implémentations de type `Quadtrees <http://en.wikipedia.org/wiki/Quadtree>`_, et des `indexes basés sur une grille <http://en.wikipedia.org/wiki/Grid_(spatial_index)>`_. 
    69  
    70 Les Fonctions spatiales 
    71 ------------------- 
    72  
    73 Pour manipuler les données lors d'une requête, une base de données classique fournit des **fonctions** comme la concaténation de chaînes de caractÚres, le cacul de la clef md5 d'une chaîne, la réalisation d'opérations mathématiques sur les nombres ou l'extraction d'informations spécifiques sur une date. Une base de données spatiales fournit un ensemble complet de fonctions pour analyser les composants géographiques, déterminer les relations spatiales et manipuler les objets géographiques. Ces fonctions spatiales sont utilisées comme des piÚces de légo pour de nombreux projet SIG. 
     68Les index spatiaux actuellement utilisés par les différents systÚmes de gestion de bases de données varient aussi considérablement. L'implémentation la plus commune est l'`arbre R <http://en.wikipedia.org/wiki/R-tree>`_ (utilisé dans PostGIS), mais il existe aussi des implémentations de type `Quadtrees <http://en.wikipedia.org/wiki/Quadtree>`_, et des `index basés sur une grille <http://en.wikipedia.org/wiki/Grid_(spatial_index)>`_. 
     69 
     70Les fonctions spatiales 
     71----------------------- 
     72 
     73Pour manipuler les données lors d'une requête, une base de données classique fournit des **fonctions** comme la concaténation de chaînes de caractÚres, le calcul de la clef md5 d'une chaîne, la réalisation d'opérations mathématiques sur les nombres ou l'extraction d'informations spécifiques sur une date. Une base de données spatiales fournit un ensemble complet de fonctions pour analyser les composants géographiques, déterminer les relations spatiales et manipuler les objets géographiques. Ces fonctions spatiales sont utilisées comme des piÚces de Lego pour de nombreux projets SIG. 
    7474 
    7575La majorité des fonctions spatiales peuvent être regroupées dans l'une des cinq catégories suivantes : 
    7676 
    77 #. **Conversion**: fonctions qui *convertissent* les données géographiques dans un format externe.  
    78 #. **Gestion**: fonctions qui permettre de *gérer* les informations relatives  aux tables spatiales et l'administration de PostGIS. 
    79 #. **Récupération**: fonctions qui permettent de *récupérer* les propriétés et les mesures d'une géométrie.  
    80 #. **Comparaison**: fonctions qui permettent de *comparer* deux géométries en respectant leur relations spatiales.  
    81 #. **Contruction**: fonctions qui permettent de *construire* de nouvelles géométries à partir d'autre. 
    82  
    83 La liste des fonctions possibles est trÚs vaste, mais un ensemble communs à l'ensemble des implémentation est défini par la spécification term:`OGC` :term:`SFSQL` et sont implémentées (ainsi que certaines supplémentaires) dans PostGIS. 
    84  
    85  
    86 Quest-ce que PostGIS ? 
    87 ====================== 
    88  
    89 PostGIS confÚre au `systÚme de gestion de base de données PostgreSQL <http://www.postgresql.org/>`_ le status de base de données spatiales en ajoutant les trois supports suivants : les types de données spatiales, les indexes et les fonctions. Étant donné qu'il est basé sur PostgreSQL, PostGIS bénéficie automatiquement des capacités orienté "entreprise" ainsi que le respect des standards de cette implémentation. 
     77#. **Conversion**: fonctions qui *convertissent* les données géographiques dans un format externe. 
     78#. **Gestion**: fonctions qui permettent de *gérer* les informations relatives  aux tables spatiales et l'administration de PostGIS. 
     79#. **Récupération**: fonctions qui permettent de *récupérer* les propriétés et les mesures d'une géométrie. 
     80#. **Comparaison**: fonctions qui permettent de *comparer* deux géométries en respectant leurs relations spatiales. 
     81#. **Contruction**: fonctions qui permettent de *construire* de nouvelles géométries à partir d'autres. 
     82 
     83La liste des fonctions possibles est trÚs vaste, mais un ensemble commun Ã  l'ensemble des implémentations est défini par la spécification term:`OGC` :term:`SFSQL`. Cet ensemble commun (avec d'autres fonctions supplémentaires) est implémenté dans PostGIS. 
     84 
     85 
     86Qu'est-ce que PostGIS ? 
     87======================= 
     88 
     89PostGIS confÚre au `systÚme de gestion de base de données PostgreSQL <http://www.postgresql.org/>`_ le statut de base de données spatiales en ajoutant les trois supports suivants : les types de données spatiales, les index et les fonctions. Étant donné qu'il est basé sur PostgreSQL, PostGIS bénéficie automatiquement des capacités orientées "entreprise" ainsi que le respect des standards de cette implémentation. 
    9090 
    9191Mais qu'est-ce que PostgreSQL ? 
    9292------------------------------- 
    9393 
    94 PostgreSQL est un puissant systÚme de gestion de données relationel à objets (SGBDRO). Il a été publié sous la licence de style BSD et est donc un logiciel libre. Comme avec beaucoup de logiciels libres, PostgreSQL n'est pas controlé par une société unique mais par une communauté de développeurs et de sociétés qui le développe. 
    95  
    96 PostgreSQL a été conçu depuis le début en conservant à l'esprit qu'il serait potentiellement nécessaire de l'étendre à l'aide d'extensions particuliÚres -- la possibilité d'ajouter de nouveau types, des nouvelles fonctions et des méthodes d'accÚs à chaud. Grâce à cela, une extension de PostgreSQL peut être développé par une équipe de développement indépendante, bien que le lien soit trÚs fortement lié au coeur de la base de données PostgreSQL. 
     94PostgreSQL est un puissant systÚme de gestion de données relationnel à objets (SGBDRO). Il a été publié sous la licence de style BSD et est donc un logiciel libre. Comme avec beaucoup de logiciels libres, PostgreSQL n'est pas contrÃŽlé par une société unique mais par une communauté de développeurs et de sociétés qui le développe. 
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     96PostgreSQL a été conçu depuis le début en conservant à l'esprit qu'il serait potentiellement nécessaire de l'étendre à l'aide d'extensions particuliÚres -- la possibilité d'ajouter de nouveaux types, des nouvelles fonctions et des méthodes d'accÚs à chaud. Grâce à cela, une extension de PostgreSQL peut être développée par une équipe de développement indépendante, bien que le lien soit trÚs fortement lié au coeur de la base de données PostgreSQL. 
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    9898Pourquoi choisir PostgreSQL ? 
     
    103103PostgreSQL a: 
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    105   * prouvé sa fiabilité et son respect de l'intégrité des données ( propriétés ACID) 
     105  * prouvé sa fiabilité et son respect de l'intégrité des données (propriétés ACID) 
    106106  * un support soigneux des standard SQL (respecte la norme SQL92) 
    107107  * un support pour le développement d'extensions et de nouvelles fonctions 
    108   * un modÚle de développement communautaire  
     108  * un modÚle de développement communautaire 
    109109  * pas de limite sur la taille des colonne (les tuples peuvent être "TOAST"és) pour supporter des objets géographiques 
    110   * un structure d'index générique (GiST) permettant l'indéxation à l'aide d'abres R 
    111   * facilité ajout de fonctions personalisées 
    112  
    113 Tout ceci combiné, PostgreSQL permet un cheminement simple du développement nécessaire à l'ajout des types spatiaux. Dans le monde propriétaire, seul Illustra (maintenant Informix Universal Server) permet une extension aussi simple. Ceci n'est pas une coincidence, Illustra est une version propriétaire modifiée du code original de PostgreSQL publié dans les années 1980.  
    114  
    115 Puisque le cheminement du développement nécessaire à l'ajout de types à PostgreSQL est direct, il semblait naturel de commencer par là. Lorsque MySQL a publié des types de données spatiales de base dans sa version 4.1, l'équipe de PostGIS a jetté un coup d'oeil dans leur code source et cela a confirmé le choix initial d'utiliser PostgreSQL. Puisque les objets géographiques de MySQL doivent être considérés comme un cas particulier de chaînes de caractÚres, le code de MySQL a été diffus dans l'intégralité du code de base. Le développement de PostGIS version 0.1 a pris un mois. Réaliser un projet "MyGIS" 0.1 aurait pris beaucoup plus de temps, c'est sans doute pourquoi il n'a jamais vu le jour. 
     110  * un structure d'index générique (GiST) permettant l'indexation à l'aide d'arbres R 
     111  * une facilité d'ajout de fonctions personalisées 
     112 
     113Tout ceci combiné, PostgreSQL permet un cheminement simple du développement nécessaire à l'ajout des types spatiaux. Dans le monde propriétaire, seul Illustra (maintenant Informix Universal Server) permet une extension aussi simple. Ceci n'est pas une coïncidence, Illustra est une version propriétaire modifiée du code original de PostgreSQL publié dans les années 1980. 
     114 
     115Puisque le cheminement du développement nécessaire à l'ajout de types à PostgreSQL est direct, il semblait naturel de commencer par là. Lorsque MySQL a publié des types de données spatiaux de base dans sa version 4.1, l'équipe de PostGIS a jeté un coup d'oeil dans leur code source et cela a confirmé le choix initial d'utiliser PostgreSQL. Puisque les objets géographiques de MySQL doivent être considérés comme un cas particulier de chaînes de caractÚres, le code de MySQL a été diffus dans l'intégralité du code de base. Le développement de PostGIS version 0.1 a pris un mois. Réaliser un projet "MyGIS" 0.1 aurait pris beaucoup plus de temps, c'est sans doute pourquoi il n'a jamais vu le jour. 
    116116 
    117117Pourquoi pas des fichiers Shapefile ? 
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    119  
    120 Les fichiers `shapefile <http://en.wikipedia.org/wiki/Shapefile>`_ (et les autres formats) ont été la maniÚre standard de stocker et d'interragir avec les données spatiales depuis l'origine des SIG. Néanmoins, ces fichiers "plats" ont les inconvénients suivants : 
    121  
    122 * **Les fichier au formats SIG requiÚrent un logiciel spécifique pour les lire et les écrire.**  Le langage SQL est une abstraction de l'accÚs alléatoire au données et à leur analyse. Sans cette abstraction, vous devrez développer l'accÚs et l'anayse par vos propre moyens. 
    123 * **L'accÚs concurent aux données peut parfois entrainer un stockage de données corrompues.** Alors qu'il est possible d'écrire du code supplémentaire afin de garantir la cohérence des données, une fois ce problÚme solutionné et celui de la performance associée, vous aurez re-écrit la partie la plus importante d'un systÚme de base de données. Pourquoi ne pas simplement utilisé une base de données standard dans ce cas ? 
    124 * **Les questions compliquées nécessitent des logiciels compliqués pour y répondre.** Les question intéressantes et compliquées (jointures spatiales, aggrégations, etc) qui sont exprimables en une ligne de SQL grâce à la base de données, nécessitent une centaines de lignes de code spécifiques pour y répondre dans le cas de fichiers. 
    125  
    126 La plupart des utilisateurs de PostGIS ont mis en place des systÚmes où diverses applications sont succeptibles d'accéder aux données, et donc d'avoir les méthodes d'accÚs SQL standard, qui simplifient le déploiement et le développement. Certains utilisateurs travaillent avec de grands jeux de données sous forme de fichiers, qui peuvent être segmentés en plusieurs fichiers, mais dans une base de données ces données peuvent être stockées dans une seule grande table. 
    127  
    128 En résumé, la combinaison du support de l'accÚs concurent, des requêtes complexes spécifiques et de la performance sur de grand jeux de données différencient les bases de données spatiales des systÚmes utilisant des fichiers. 
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     119 
     120Les fichiers `shapefile <http://en.wikipedia.org/wiki/Shapefile>`_ (et les autres formats) ont été la maniÚre standard de stocker et d'interagir avec les données spatiales depuis l'origine des SIG. Néanmoins, ces fichiers "plats" ont les inconvénients suivants : 
     121 
     122* **Les fichier au formats SIG requiÚrent un logiciel spécifique pour les lire et les écrire.**  Le langage SQL est une abstraction de l'accÚs aléatoire aux données et à leur analyse. Sans cette abstraction, vous devrez développer l'accÚs et l'analyse par vos propre moyens. 
     123* **L'accÚs concurrent aux données peut parfois entraîner un stockage de données corrompues.** Alors qu'il est possible d'écrire du code supplémentaire afin de garantir la cohérence des données, une fois ce problÚme solutionné et celui de la performance associée, vous aurez re-écrit la partie la plus importante d'un systÚme de base de données. Pourquoi ne pas simplement utiliser une base de données standard dans ce cas ? 
     124* **Les questions compliquées nécessitent des logiciels compliqués pour y répondre.** Les question intéressantes et compliquées (jointures spatiales, aggrégations, etc) qui sont exprimables en une ligne de SQL grâce à la base de données, nécessitent une centaine de lignes de code spécifiques pour y répondre dans le cas de fichiers. 
     125 
     126La plupart des utilisateurs de PostGIS ont mis en place des systÚmes où diverses applications sont susceptibles d'accéder aux données, et donc d'avoir les méthodes d'accÚs SQL standard, qui simplifient le déploiement et le développement. Certains utilisateurs travaillent avec de grands jeux de données sous forme de fichiers, qui peuvent être segmentés en plusieurs fichiers, mais dans une base de données ces données peuvent être stockées dans une seule grande table. 
     127 
     128En résumé, la combinaison du support de l'accÚs concurrent, des requêtes complexes spécifiques et de la performance sur de grands jeux de données différencient les bases de données spatiales des systÚmes utilisant des fichiers. 
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    130130Un bref historique de PostGIS 
    131131------------------------------ 
    132132 
    133 En mai 2001, la société `Refractions Research <http://www.refractions.net/>`_  publie la permiÚre version de PostGIS. PostGIS 0.1 fournissait les objets, les indexes et des fonctions utiles. Le résultat était une base de données permettant le stockage et l'accÚs mais pas encore l'analyse. 
     133En mai 2001, la société `Refractions Research <http://www.refractions.net/>`_  publie la premiÚre version de PostGIS. PostGIS 0.1 fournissait les objets, les index et des fonctions utiles. Le résultat était une base de données permettant le stockage et l'accÚs mais pas encore l'analyse. 
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    135135Comme le nombre de fonctions augmentait, le besoin d'un principe d'organisation devint clair. La spécification "Simple Features for SQL" (:term:`SFSQL`) publiée par l'Open Geospatial Consortium fournit une telle structure avec des indications pour le nommage des fonctions et les pré-requis. 
    136136 
    137 Avec le support dans PostGIS de simples fonctions d'analyses et de jointures spatiales,  
     137Avec le support dans PostGIS de simples fonctions d'analyses et de jointures spatiales, 
    138138`Mapserver <http://mapserver.org/>`_ devint la premiÚre application externe permettant de visualiser les données de la base de données. 
    139139 
    140 Au cours de ces derniÚres années le nombre de fonctions fournies par PostGIS grandit, mais sa puissance restait limité. La plupart des fonctions interressantes (ex : ST_Intersects(), ST_Buffer(), ST_Union()) étaient difficiles à implémenter. Les écrire en repartant du début promettait des années de travail. 
     140Au cours de ces derniÚres années, le nombre de fonctions fournies par PostGIS grandissait, mais leur puissance restait limitée. La plupart des fonctions intéressantes (ex : ST_Intersects(), ST_Buffer(), ST_Union()) étaient difficiles à implémenter. Les écrire en repartant du début promettait des années de travail. 
    141141 
    142142Heureusement un second projet, nommé "Geometry Engine, Open Source" ou `GEOS <http://trac.osgeo.org/geos>`_ vit le jour. Cette librairie fournit l'ensemble des algorithmes nécessaires à l'implémentation de la spécification :term:`SFSQL` . En se liant à GEOS, PostGIS fournit alors le support complet de la :term:`SFSQL` depuis la version 0.8. 
    143143 
    144 Alors que les capacités de PostGIS grandissaient, un autre problÚme fit surface : La représentation utilisée pour stocker les géométries n'était pas assez efficace. Pour de petits objets comme les points ou de courtes lignes, les métadonnées dans la représentation occupaient plus de 300% supplémentaires. Pour des raisons de performance, il fut nécessaire de faire faire un régime à la représentation. En réduisant l'entête des métadonnées et les dimensions requises, l'espace supplémentaire fut réduit drastiquement. Dans PostGIS 1.0, cette nouvelle représentation plus rapide et plus légÚre devint la représentation par défaut. 
    145  
    146 Les mises à jour récentes de PostGIS ont permit d'éttendre la compatibilité avec les standards, d'ajouter les géométries courbes et les signatures de fonctions spécifiées dans la norme ISO :term:`SQL/MM`. Dans un soucis de performance, PostGIS 1.4 augmenta considérablement la rapidité d'exécution des fonctions de test sur les géométries. 
    147  
    148 Qui utilisent PostGIS ? 
    149 ----------------------- 
    150  
    151 Pour une liste complÚte des cas d'utilisation, consultez la page web : `PostGIS case studies <http://www.postgis.org/documentation/casestudies/>`_. 
    152  
    153 Institut Geographique National, France 
     144Alors que les capacités de PostGIS grandissaient, un autre problÚme fit surface : la représentation utilisée pour stocker les géométries n'était pas assez efficace. Pour de petits objets comme les points ou de courtes lignes, les métadonnées dans la représentation occupaient plus de 300% supplémentaires. Pour des raisons de performances, il fut nécessaire de faire faire un régime à la représentation. En réduisant l'entête des métadonnées et les dimensions requises, l'espace supplémentaire fut réduit drastiquement. Dans PostGIS 1.0, cette nouvelle représentation plus rapide et plus légÚre devint la représentation par défaut. 
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     146Les mises à jour récentes de PostGIS ont permis d'étendre la compatibilité avec les standards, d'ajouter les géométries courbes et les signatures de fonctions spécifiées dans la norme ISO :term:`SQL/MM`. Dans un soucis de performance, PostGIS 1.4 a aussi augmenté considérablement la rapidité d'exécution des fonctions de tests sur les géométries. 
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     148Qui utilise PostGIS ? 
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     151Pour une liste complÚte des cas d'utilisation, consultez la page web : `Cas d'utilisations de PostGIS (en anglais) <http://www.postgis.org/documentation/casestudies/>`_. 
     152 
     153Institut Géographique National, France 
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    155155 
    156 L'IGN utilise PostGIS pour stocker des cartes topographiques de grande résolution de la France : la "BDUni". La BDUni a plus de 100 millions d'entités, et est maintenue par une équipe de 100 personnes qui vérifie les observations et ajoute quotidiennement de nouvelles données à la base. L'installation de l'IGN utilise le systÚme transactionel de la base de données pour assurer la consistance durant les phases de mises à jour et utilise un `serveur de rtandby par transfert de journaux <http://docs.postgresql.fr/9.1/warm-standby.html>`_ afin de conserver un état cohérent en cas de défaillance du systÚme. 
     156L'IGN utilise PostGIS pour stocker des cartes topographiques de grande résolution de la France : la "BDUni". La BDUni a plus de 100 millions d'entités, et est maintenue par une équipe de 100 personnes qui vérifie les observations et ajoute quotidiennement de nouvelles données à la base. L'installation de l'IGN utilise le systÚme transactionnel de la base de données pour assurer la consistance durant les phases de mises à jour et utilise un `serveur de warm-standby par transfert de journaux <http://docs.postgresql.fr/9.1/warm-standby.html>`_ afin de conserver un état cohérent en cas de défaillance du systÚme. 
    157157 
    158158GlobeXplorer 
    159159~~~~~~~~~~~~ 
    160160 
    161 GlobeXplorer est un service web fournissant un accÚs en ligne à une imagerie satellite et photos aériennes de plusieures petabytes. GlobeXplorer utilise PostGIS pour gérer les métadonnées associées avec le catalogue d'images. Les requêtes pour accéder aux images recherchent d'abord dans le catalogue PostGIS pour récupérer la localisation des images demandées, puis récupÚrent ces images et les retournent au client. Lors du proeccessus de mise en place de leur systÚme, GlobeXplorer a essayé d'autre systÚme de base de données spatiales mais a conserver PostGIS à cause de la combinaison du prix et de la performance qu'il offre. 
     161GlobeXplorer est un service web fournissant un accÚs en ligne à une imagerie satellite et photos aériennes de plusieurs petabytes. GlobeXplorer utilise PostGIS pour gérer les métadonnées associées avec le catalogue d'images. Les requêtes pour accéder aux images recherchent d'abord dans le catalogue PostGIS pour récupérer la localisation des images demandées, puis récupÚrent ces images et les retournent au client. Lors du proccessus de mise en place de leur systÚme, GlobeXplorer a essayé d'autres systÚmes de base de données spatiales mais a conservé PostGIS à cause de la combinaison du prix et de la performance qu'il offre. 
    162162 
    163163Quest-ce qu'une application qui supporte PostGIS ? 
    164 ------------------------------------------------- 
    165  
    166 PostGIS est devenu une base de données spatiale communément utilisée, et le nombre d'applications tierces qui supportent le stockage ou la récupération des données n'a céssé d'augmenter. `Les application qui supportent PostGIS <http://trac.osgeo.org/postgis/wiki/UsersWikiToolsSupportPostgis>`_  contiennent à la fois des applications libres et des application propriétaires tournant sur un serveur ou localement depuis votre bureau. 
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     165 
     166PostGIS est devenu une base de données spatiale communément utilisée, et le nombre d'applications tierces qui supportent le stockage ou la récupération des données n'a cessé d'augmenter. `Les application qui supportent PostGIS <http://trac.osgeo.org/postgis/wiki/UsersWikiToolsSupportPostgis>`_  contiennent à la fois des applications libres et des application propriétaires tournant sur un serveur ou localement depuis votre bureau. 
    167167 
    168168La table suivante propose une liste des logiciels qui tirent profit de PostGIS : 
     
    171171| Libre/Gratuit                                   | Fermé/Propriétaire                           | 
    172172+=================================================+==============================================+ 
    173 |                                                 |                                              |    
    174 | * Chargement/Extraction                         | * Chargement/Extraction                      |    
    175 |                                                 |                                              |      
    176 |   * Shp2Pgsql                                   |   * Safe FME Desktop Translator/Converter    |       
    177 |   * ogr2ogr                                     |                                              |         
    178 |   * Dxf2PostGIS                                 |                                              |           
    179 |                                                 | * Basé sur web                               |          
    180 | * Basé sur le web                               |                                              |              
    181 |                                                 |   * Ionic Red Spider (now ERDAS)             |               
    182 |   * Mapserver                                   |   * Cadcorp GeognoSIS                        |             
    183 |   * GeoServer (Java-based WFS / WMS -server )   |   * Iwan Mapserver                           |      
    184 |   * SharpMap SDK - for ASP.NET 2.0              |   * MapDotNet Server                         |       
    185 |   * MapGuide Open Source (using FDO)            |   * MapGuide Enterprise (using FDO)          |    
    186 |                                                 |   * ESRI ArcGIS Server 9.3+                  |          
    187 | * Logiciels bureautiques                        |                                              |            
    188 |                                                 | * Logiciels bureautiques                     |                
    189 |   * uDig                                        |                                              |            
    190 |   * QGIS                                        |   * Cadcorp SIS                              |       
    191 |   * mezoGIS                                     |   * Microimages TNTmips GIS                  |          
    192 |   * OpenJUMP                                    |   * ESRI ArcGIS 9.3+                         |            
    193 |   * OpenEV                                      |   * Manifold                                 |    
    194 |   * SharpMap SDK for Microsoft.NET 2.0          |   * GeoConcept                               |        
    195 |   * ZigGIS for ArcGIS/ArcObjects.NET            |   * MapInfo (v10)                            |            
    196 |   * GvSIG                                       |   * AutoCAD Map 3D (using FDO)               |    
    197 |   * GRASS                                       |                                              |            
    198 |                                                 |                                              |              
     173|                                                 |                                              | 
     174| * Chargement/Extraction                         | * Chargement/Extraction                      | 
     175|                                                 |                                              | 
     176|   * Shp2Pgsql                                   |   * Safe FME Desktop Translator/Converter    | 
     177|   * ogr2ogr                                     |                                              | 
     178|   * Dxf2PostGIS                                 |                                              | 
     179|                                                 | * Basé sur le web                            | 
     180| * Basé sur le web                               |                                              | 
     181|                                                 |   * Ionic Red Spider (now ERDAS)             | 
     182|   * Mapserver                                   |   * Cadcorp GeognoSIS                        | 
     183|   * GeoServer (Java-based WFS / WMS -server )   |   * Iwan Mapserver                           | 
     184|   * SharpMap SDK - for ASP.NET 2.0              |   * MapDotNet Server                         | 
     185|   * MapGuide Open Source (using FDO)            |   * MapGuide Enterprise (using FDO)          | 
     186|                                                 |   * ESRI ArcGIS Server 9.3+                  | 
     187| * Logiciels bureautiques                        |                                              | 
     188|                                                 | * Logiciels bureautiques                     | 
     189|   * uDig                                        |                                              | 
     190|   * QGIS                                        |   * Cadcorp SIS                              | 
     191|   * mezoGIS                                     |   * Microimages TNTmips GIS                  | 
     192|   * OpenJUMP                                    |   * ESRI ArcGIS 9.3+                         | 
     193|   * OpenEV                                      |   * Manifold                                 | 
     194|   * SharpMap SDK for Microsoft.NET 2.0          |   * GeoConcept                               | 
     195|   * ZigGIS for ArcGIS/ArcObjects.NET            |   * MapInfo (v10)                            | 
     196|   * GvSIG                                       |   * AutoCAD Map 3D (using FDO)               | 
     197|   * GRASS                                       |                                              | 
     198|                                                 |                                              | 
    199199+-------------------------------------------------+----------------------------------------------+ 
    200200 
  • trunk/workshop-foss4g/loading_data.rst

    r45 r60  
    1010   .. image:: ./screenshots/pgshapeloader_01.png 
    1111 
    12 #. Ensuite, ouvrez le navigateur de fichier *Shape File* puis dans le répertoire file:`\\postgisintro\\data` sélectionnez le fichier :file:`nyc_census_blocks.shp`.  
     12#. Ensuite, ouvrez le navigateur de fichier *Shape File* puis dans le répertoire file:`\\postgisintro\\data` sélectionnez le fichier :file:`nyc_census_blocks.shp`. 
    1313 
    1414#. Saisissez les détails de la section *connexion PostGIS* et cliquez sur le bouton **Test Connection...**. 
     
    2525        - ``nyc`` 
    2626 
    27   .. note::  
    28    
     27  .. note:: 
     28 
    2929     Affecter le numéro de port **54321** est trÚs important ! Le serveur PostGIS d'OpenGeo utilise ce port et non le port par défaut (5432). 
    3030 
     
    4848#. Pour finir, cliquez sur le bouton **Import** et regardez l'importation s'exécuter. Cela peut prendre plusieurs minutes pour charger, mais ce fichier est le plus gros que nous aurons à charger. 
    4949 
    50 #. Repétez la méthode afin d'importer les autres données présentes dans le répertoire data. Ormis le nom du fichier et le nom de la table de sortie, les autres paramÚtres de pgShapeLoader devrait rester les mêmes : 
     50#. Repétez la méthode afin d'importer les autres données présentes dans le répertoire data. Hormis le nom du fichier et le nom de la table de sortie, les autres paramÚtres de pgShapeLoader devrait rester les mêmes : 
    5151 
    5252   * ``nyc_streets.shp`` 
    5353   * ``nyc_neighborhoods.shp`` 
    5454   * ``nyc_subway_stations.shp`` 
    55   
    56 #. Lorsque tout les fichiers sont chargés, cliquez sur le bouton "Refresh" de pgAdmin pour mettre à jour l'arbre affiché. Vous devriez voir vos quatre nouvellles tables affichées dans la section **Tables** de l'arbre. 
     55 
     56#. Lorsque tous les fichiers sont chargés, cliquez sur le bouton "Refresh" de pgAdmin pour mettre à jour l'arbre affiché. Vous devriez voir vos quatre nouvellles tables affichées dans la section **Tables** de l'arbre. 
    5757 
    5858   .. image:: ./screenshots/refresh.png 
    59   
    60   
     59 
     60 
    6161Shapefile ? Qu'est-ce que c'est ? 
    62 ------------------------------- 
     62--------------------------------- 
    6363 
    6464Il est possible que vous vous demandiez "Qu'est-ce que c'est ce shapefile ?" On utilise communément le terme "Shapefile" pour parler d'un ensemble de fichiers d'extension ``.shp``, ``.shx``, ``.dbf``, ou autre ayant un nom commun (ex: nyc_census_blocks). Le fichier Shapefile est en réalité le fichier d'extension ``.shp``, mais ce fichier seul n'est pas complet sans ses fichiers associés. 
     
    6767 
    6868  * ``.shp`` — les formes; les entités géographiques elle-mêmes 
    69   * ``.shx`` — l'index de formes; un index base sur les positions des entités géographiques 
    70   * ``.dbf`` — les attributs; les données attributaires associées à chaque formes, au format dBase III 
    71      
    72 Les fichiers optionels possibles: 
     69  * ``.shx`` — l'index de formes; un index basé sur les positions des entités géographiques 
     70  * ``.dbf`` — les attributs; les données attributaires associées à chaque forme, au format dBase III 
    7371 
    74   * ``.prj`` — la projection; le systÚme de coordonnées et l'information de projection, un fichier texte décrivant la projection utilisant le format text bien connu (WKT) 
     72Les fichiers optionnels possibles: 
     73 
     74  * ``.prj`` — la projection; le systÚme de coordonnées et l'information de projection, un fichier texte décrivant la projection utilisant le format texte bien connu (WKT) 
    7575 
    7676Afin d'utiliser un fichier Shapefile dans PostGIS, vous devez le convertir en une série de requêtes SQL. En utilisant pgShapeLoader, un Shapefile est converti en une table que PostgreSQL peut comprendre. 
     
    8080------------------------------- 
    8181 
    82 La plupart des paramÚtres de l'importation de données sont explicites mais même les proffessionnels du SIG peuvent rencontrer des difficulté à propos du  **SRID**. 
     82La plupart des paramÚtres de l'importation de données sont explicites mais même les professionnels du SIG peuvent rencontrer des difficulté à propos du  **SRID**. 
    8383 
    84 "SRID" signifie "IDentifiant de Référénce Spatiale". Il définit tout les paramÚtres de nos données, telles les coordonnées géographiques et la projection. Un SRID est pratique car il encapsule sous la forme d'un nombre toutes les informations à propos de la projection de la carte (ce qui peut être trÚs compliqué). 
     84"SRID" signifie "IDentifiant de Référence Spatiale". Il définit tous les paramÚtres de nos données, telles les coordonnées géographiques et la projection. Un SRID est pratique car il encapsule sous la forme d'un nombre toutes les informations à propos de la projection de la carte (ce qui peut être trÚs compliqué). 
    8585 
    8686Vou pouvez consulter la définition de la projection de la carte en consultant la base de données en ligne suivante : 
     
    9393 
    9494  SELECT srtext FROM spatial_ref_sys WHERE srid = 26918; 
    95    
     95 
    9696.. note:: 
     97   La table ``spatial_ref_sys`` de PostGIS est une table standard OGC qui définit tous les systÚmes de référence spatiale connus par la base de données. Les données livrées avec PostGIS, contiennent 3000 systÚmes de référence spatiale et précisent les informations nécessaires à la transformation ou la reprojection. 
    9798 
    98    La table ``spatial_ref_sys`` de PostGIS est une table standard OGC qui définit tout les systÚmes de références spatiales connus par la base de données. Les données livrées avec PostGIS, contiennent 3000 systÚmes de références spatiales et précisent les informations nécessaires à la tranformation ou la reprojection.   
    99     
    100 Dans les deux cas, vous obtiendrez une représentation du systÚme de références spatiales **26918** (affiché sur plusieurs lignes ici pour plus de clarté). 
     99Dans les deux cas, vous obtiendrez une représentation du systÚme de référence spatiale **26918** (affichée sur plusieurs lignes ici pour plus de clarté). 
    101100 
    102101:: 
     
    129128.. image:: ./screenshots/prj2epsg_01.png 
    130129 
    131 Les données que vous recevez des agences locales de l'état - comme la ville de New York - utilisent la plupart du temps des projections locales noté "state plane" ou "UTM". Dans notre cas, la projection est "Universal Transverse Mercator (UTM) Zone 18 North" soit EPSG:26918.   
     130Les données que vous recevez des agences locales de l'Etat - comme la ville de New York - utilisent la plupart du temps des projections locales notées "state plane" ou "UTM". Dans notre cas, la projection est "Universal Transverse Mercator (UTM) Zone 18 North" soit EPSG:26918. 
    132131 
    133132 
    134 Les choses à essayer : Rendre spatiale une base de données existante 
     133Les choses à essayer : rendre spatiale une base de données existante 
    135134-------------------------------------------------------------------- 
    136135 
    137 Vous avez déjà vue comment créer une base de données en utilisant le modÚle ``postgis_template`` depuis pgAdmin. Néanmoins, lorsque vous installé depuis les sources ou que vous ajoutez le module PostGIS à une base existante, il n'est pas toujours approprié de créer une nouvelle base de données en utilisant le modÚle PostGIS. 
     136Vous avez déjà vu comment créer une base de données en utilisant le modÚle ``postgis_template`` depuis pgAdmin. Néanmoins, lorsque vous installé depuis les sources ou que vous ajoutez le module PostGIS à une base existante, il n'est pas toujours approprié de créer une nouvelle base de données en utilisant le modÚle PostGIS. 
    138137 
    139 Votre tâche consiste dans cette section à créer une base de données et à ajouter les types et les fonctions PostGIS ensuite. Les script SQL nécessaires - :file:`postgis.sql` et :file:`spatial_ref_sys.sql` - se trouve dans le répertoire :file:`contrib` de votre installation de PostgreSQL. Pour vous guider, vous pouvez consulter la documentation PostGIS expliquant comment installer PostGIS [#PostGIS_Install]_. 
     138Votre tâche consiste dans cette section à créer une base de données et à ajouter les types et les fonctions PostGIS ensuite. Les script SQL nécessaires - :file:`postgis.sql` et :file:`spatial_ref_sys.sql` - se trouvent dans le répertoire :file:`contrib` de votre installation de PostgreSQL. Pour vous guider, vous pouvez consulter la documentation PostGIS expliquant comment installer PostGIS [#PostGIS_Install]_. 
    140139 
    141140.. note:: 
    142141 
    143    N'oubliez pas saisir le nom de l'utilisateur et le numéro de port losque vous créer une base de données en ligne de commande. 
    144      
    145 Les choses à essayer : Visualiser des données avec uDig 
    146 ------------------------------------------------------ 
     142   N'oubliez pas saisir le nom de l'utilisateur et le numéro de port lorsque vous créez une base de données en ligne de commande. 
    147143 
    148 `uDig <http://udig.refractions.org>`_, (User-friendly Desktop Internet GIS) est un outil bureautique de visualisation/edition SIG permettant de visualiser rapidement se données. Vous pouvez visualiser un grand nombre de formats différents dont les Shapefiles et les bases de données PostGIS. Son interface graphique vous permet d'explorer vos données facilement mais aussi de les tester et les styler rapidement. 
     144Les choses à essayer : visualiser des données avec uDig 
     145------------------------------------------------------- 
    149146 
    150 Utilisez cette application pour vous connecter à votre base de données PostGIS. L'application est contenu dans le répertoire ``software``. 
     147`uDig <http://udig.refractions.org>`_, (User-friendly Desktop Internet GIS) est un outil bureautique de visualisation/édition SIG permettant de visualiser rapidement ses données. Vous pouvez visualiser un grand nombre de formats différents dont les Shapefiles et les bases de données PostGIS. Son interface graphique vous permet d'explorer vos données facilement mais aussi de les tester et les styler rapidement. 
    151148 
    152 .. rubric:: Footnotes 
     149Utilisez cette application pour vous connecter à votre base de données PostGIS. L'application est contenue dans le répertoire ``software``. 
     150 
     151.. rubric:: Notes de bas de page 
    153152 
    154153.. [#PostGIS_Install] "Chapter 2.5. Installation" PostGIS Documentation. Mai 2010 <http://postgis.org/documentation/manual-1.5/ch02.html#id2786223> 
  • trunk/workshop-foss4g/welcome.rst

    r42 r60  
    88 
    99Cette section présente les différentes conventions d'écriture qui seront utilisées dans ce 
    10 document afin d'en faciliter la lecture.  
     10document afin d'en faciliter la lecture. 
    1111 
    1212Indications 
    1313----------- 
    1414 
    15 Les indications pour vous, lecteurs de ce document, seront noté en **gras**. 
     15Les indications pour vous, lecteurs de ce document, seront notées en **gras**. 
    1616 
    1717Par exemple: 
     
    2222---- 
    2323 
    24 Les exemples de requêtes SQL seront affichées de la maniÚre suivante : 
     24Les exemples de requêtes SQL seront affichés de la maniÚre suivante : 
    2525 
    2626.. code-block:: sql 
     
    3333----- 
    3434 
    35 Les notes sont utilisées pour fournir une information utile mais non critique pour la  
     35Les notes sont utilisées pour fournir une information utile mais non critique pour la 
    3636compréhension globale du sujet traité. 
    3737 
    38 .. note:: Si vous n'avez pas manger une pomme aujourd'hui, le docteur devrait se  
     38.. note:: Si vous n'avez pas mangé une pomme aujourd'hui, le docteur devrait se 
    3939    mettre en route. 
    4040 
     
    4242--------- 
    4343 
    44 Lorsque les noms de fonctions seront contenu dans une phrase, ils seront affiché en  :command:`gras`. 
     44Lorsque les noms de fonctions sont contenus dans une phrase, ils sont affichés en  :command:`gras`. 
    4545 
    4646Par exemple: 
    4747 
    48    :command:`ST_Touches(geometry A, geometry B)` retourne vrai si un des contours des géométries s'intersectent 
     48   :command:`ST_Touches(geometry A, geometry B)` retourne vrai si un des contours de géométrie intersecte l'autre contour de géométrie 
    4949 
    5050Fichiers, Tables et nom de colonne 
    5151---------------------------------- 
    5252 
    53 Les nom de fichier, les chemins, le noms de tables et les noms de colones seront affiché comme suit 
     53Les noms de fichiers, les chemins, le noms de tables et les noms de colonnes seront affichés comme suit 
    5454 
    5555   Select the ``name`` column in the ``nyc_streets`` table. 
     
    5858----------------------- 
    5959 
    60 Les menus et les éléments de formulaire comme les champs ou les boîtes à cocher ainsi  
     60Les menus et les éléments de formulaire comme les champs ou les boîtes à cocher ainsi 
    6161que les autre objets sont affichés en *italique*. 
    6262 
     
    6868------------ 
    6969 
    70 Les différentes sections de ce document permettent d'évoluer progressivement. Chaque  
    71 section suppose que vous avez terminé et compris les sections précédentes 
     70Les différentes sections de ce document permettent d'évoluer progressivement. Chaque 
     71section suppose que vous ayez terminé et compris les sections précédentes. 
    7272 
    73 Certaines sections fournissent des exemples fonctionnels aisni que des exercices. Dans certains cas, il y'a aussi des sections "Les choses à essayer" pour les curieux. Ces tâches contiennent des problÚmes plus complexes que dans les exercices. 
     73Certaines sections fournissent des exemples fonctionnels ainsi que des exercices. Dans certains cas, il y a aussi des sections "Les choses à essayer" pour les curieux. Ces tâches contiennent des problÚmes plus complexes que dans les exercices. 
     74 
Note: See TracChangeset for help on using the changeset viewer.